La nuit fut animée par un karaoké et c’est donc avec une forme quelque peu entamée que nous arrivâmes à la gallery. Nous avions décidés de bosser de manière efficace et de nous attacher à la réalisation de la partie administration du site : nous réalisons un site dynamique que les gens de la gallery pourront mettre à jour via une interface web. Beaucoup de travail nous attendait car nous avons fait beaucoup de rubriques différentes, avec des bases de données différentes. A la fin de la journée nous avions bien avancé, la grosse partie du site était faite. Nous étions assez satisfait de notre journée entièrement passée sur les pc, trankil et là c’est le drame, les œuvres de la nouvelle exposition sont arrivés. Elles venaient sans doute des Etats-Unis par avion et nous avons donc réceptionnées le camion venant de Dublin. Les œuvres étaient tellement empaquetés que les caisses pesaient une tonne. Il fallait les descendre par un escalier, dans un des endroits les plus fréquentés du château. Nous en sommes ressortis encore crevés, avec de sérieux mal aux bras et nous sommes repartis sur nos pcs pour décompresser. Vincent avait amené sa Webcam et commença à craquer en prenant des photos de partout. Comme il fallait extérioriser cette fatigue, nous parlâmes avec plein de monde sur msn, ça soulage ? Nous partîmes le soir avec la ferme intention de bien manger : nous allâmes donc à « pizza connection » pour manger de très bonnes …pizzas. Vincent pris une quattro signiliero et je pris une Hawaï qui est composé d’ananas ? Bon, Vincent m’oblige à raconter une petite anecdote sur le repas : sur les tables du restaurant italien il y a une bougie allumée dans un verre, ce qui donne une ambiance assez classe et sympa. Voulant m’occuper je pris le sel et pour voir si le sel allait crépiter sous l’effet de la chaleur j’ai comme qui dirait saupoudrait la bougie que j’ai bien sure éteinte en 2s. Les prochains canadairs jetteront du sel, c’est vachement efficace. Vincent put rallumer la bougie après avoir bien rit, en se brûlant un peu. Le soir nous regardâmes le parrain 2 : 3h de film, dont sans doute une bonne heure avec de niro en italien sans sous titre et 2h de la déchéance de Al Pacino, nous en ressortîmes assez fatigués et en bonne condition pour dormir surtout qu’il y avait encore une soirée au club d’à coté.